Oui, c'est ce que je me suis dit !

: à la réflexion j'aurais peut-être dû garder 0,4 mm pour les tuyaux de sablage, mais je me disais que le "contraste" serait (trop) peu visible...
Hier soir, installation du dôme et de la première des deux petites pièces rapportées latéralement : dans la notice Marcel les dénomme
"chapelles d'injection" mais, à mon sens, à cet endroit (base du dôme) ce sont plutôt deux vannes de
prise de vapeur commandées chacune depuis l'abri par une tringle horizontale, dont celle de gauche (côté chauffeur) alimentait probablement les deux injecteurs "en charge" disposés sous l'abri et celle de droite (côté mécanicien) alimentait le souffleur, ce qui est d'ailleurs confirmé par la tubulure apparente qui sera à réaliser, au départ de cette vanne, en direction de la base de la cheminée : mon "contrôleur" Preiser y réfléchit d'ailleurs déjà...

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On remarquera que la caisse est ici vissée sur le châssis, car j'aime bien faire quelques évolutions sur le réseau entre deux phases de travail.
Du reste la machine est maintenant munie de ses attelages, ce qui a permis de faire quelques essais de traction : la puissance de cette 120T est honorable en palier mais... sans trop de surprise, il s'avère qu'avec ses - seulement ! - deux essieux moteurs elle ne sera pas "apte" à la traction de convois, même légers, dans ma redoutable rampe (en courbe !) de 6%

: comme à plusieurs de mes machines récentes, il lui faudra un jour un réseau moins "jouet" pour s'exprimer !
En attendant ce sera tout de même la reine des beaux arrêts/démarrages, et les évolutions de la "Coureuse" - même inachevée ! - en gare d'Entraygues sont déjà un vrai régal pour l'oeil...
